LE CIMETIÈRE DES BACHELIERS - Un roman puissant sur les désillusions universitaires en Afrique dans les années 90. Grèves, répression et espoirs brisés sur fond de luttes étudiantes (François Nkémé)

Bienvenue à l’Université… ou plutôt dans une arène. Dans ce roman percutant, Jérôme découvre un amphithéâtre bondé, bruyant, presque chaotique — un espace où l’on se bat parfois avant même que les cours ne commencent.

À travers ses yeux, Le Cimetière des bacheliers dépeint une vie universitaire bouillonnante et explosive, faite de grèves, de répressions militaires, de mouvements étudiants comme le Front des étudiants lésés (FEL). Une plongée saisissante dans les années 90, ces fameuses années de braise, où les campus africains deviennent le théâtre de luttes politiques, tribales et sociales.

Plus qu’un roman, c’est un témoignage sociopolitique, un cri d’alerte sur la précarité de l’enseignement supérieur, la désillusion des jeunes, et l’indifférence des pouvoirs publics. Une œuvre brûlante, réaliste et engagée qui interroge le destin des milliers de bacheliers sacrifiés sur l’autel d’un système défaillant.

👥 Public cible

Étudiants et anciens étudiants africains

Passionnés de récits sociopolitiques

Enseignants, sociologues, journalistes

Militants ou curieux de l’histoire des mouvements étudiants

Lecteurs de littérature réaliste et engagée

Public universitaire ou académique

Personnes concernées par les défis de l’éducation en Afrique

L'auteur : Plume émergente de l’espace francophone en 2005 de la revue Notre 
Librairie, François Nkémé est un membre de la première heure de la Nolica (Nouvelle littérature camerounaise). Il a publié : Innocence perdue, morceaux choisis de mon enfance (récit jeunesse), Buyam sellam, (roman), On ne décore pas les petites gens, (recueil de nouvelles), La bienheureuse transition, (roman), Hôtel plaisir, (roman). Le cimetière des bacheliers a été le premier Prix des lycées et collèges du Cameroun en 2006.